Je veux y croire à nouveau
De l’air frais me parcourt et remplit les poumons,
Un sang chaud et nouveau m’inonde les veine.
Je n’y pensais plus, en vrai je n’y croyais plus,
Tout être humain sensé peut me comprendre,
Nul ne peut voir un tel gâchis sans déprimer.
J’ai pensé, j’y ai réfléchi et j’en ai parlé, ,
Des larmes chargées de peine et de nostalgie,
Des cris chargés de douleur et de désespoir,
Mes nuits calmes tel un oasis en plein désert.
« Petit pays » a déterré et réveillé
Cet espoir asphyxié par la réalité.
Je peux y croire, voir des photons dans ce noir,
Espérer combler le vide, vide de vie.
Le goût me revient enfin, ma vue s’éclaircit,
Je veux croire à nouveau à cet idéal perdu
Oui, tout n’est peut-être pas perdu, espérons.